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Des machines virtuelles (VM) sont disponibles pour téléchargement sur le compte éditeur de la plateforme Convergence et s'accompagnent pour chaque exigence d'un guide d'utilisation présentant la VM et le mode opératoire du test.
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Tous les éléments externes s'interfaçant avec les services numériques et nécessaires aux scénarios de preuve seront fournis par l'ANS avec un guide de raccordement/configuration.
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La vague 2 du Ségur n'exige qu'une compatibilité générique avec le standard OIDC et le flux Authentication Code Flow. Les éditeurs sont libres de faire les choix de paramétrage qui leur conviennent du moment qu'ils s'inscrivent dans le cadre du standard. Le financement de connecteurs OIDC spécifiques à certains établissements n'est pas compris dans le Ségur. Il fera l'objet d'une contractualisation directement avec les établissements en ayant besoin.
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Le référentiel d'identification électronique annule et remplace au 1er juin 2022 trois référentiels de la PGSSI-S :
- Le référentiel d’identification des acteurs sanitaires et médico-sociaux v1.0 ;
- Le référentiel d’authentification des acteurs de santé v2.0;
- Le référentiel des autorités de certification éligibles pour l’authentification publique dans le secteur de la santé v2.0.
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Les exigences découlent du référentiel d’identification électronique qui a été rendu opposable par arrêté ministériel conformément au code de la santé publique, Art. L. 1470-1. à Art. L. 1470-6 (arrêté du 28 mars 2022). Il fait partie de la Politique Générale de Sécurité des Systèmes d’Information en Santé (PGSSI-S).
Le respect du référentiel d'identification électronique engage dès lors la responsabilité des responsables de traitement assujettis à ce référentiel. En particulier, la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) peut diligenter des audits et sanctionner les établissements pour un défaut d'application du référentiel d'identification électronique.
Les différents volets du référentiel d'identification électronique peuvent être récupérés sur le site de publication de la PGSSI-S par l'ANS.
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Les preuves requises consistent en des captures d'écran ou des séquences vidéo illustrant les mesures de gestion des comptes d'utilisateurs, la connexion et la déconnexion au système.
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La solution doit permettre de respecter les exigences en termes de complexité des mots de passe attendues dans les exigences et cela doit être paramétré ainsi dans la configuration par défaut.
En revanche, il n’est pas interdit qu’un paramétrage plus permissif soit possible (par exemple le produit n’est pas nécessairement commercialisé qu’en France). C’est alors de la responsabilité de l’établissement de santé si celui-ci fait volontairement baisser la complexité du mot de passe. L’éditeur ne saurait être tenu pour responsable dans ce cas.
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Pour un utilisateur, l'administration de l'envoi de documents vers le Dossier Médical Partagé (DMP) et la Messagerie Sécurisée de Santé (MSS) depuis un logiciel s'effectue par une interface conçue pour être à la fois automatisée et personnalisable. L'objectif est de simplifier au maximum le processus tout en respectant les obligations légales et les situations spécifiques des patients.
Envoi de documents au DMP
Par défaut, l'envoi d'un document au DMP est automatique et le document est visible par le patient.
Cette configuration par défaut est non modifiable de façon globale par l'utilisateur, ce qui garantit le respect de l'obligation légale d'alimentation du DMP (Article L. 1111-15 du Code de la santé publique précisé par l’arrêté du 23 mai 2024).
Toutefois, le professionnel de santé dispose de deux options pour gérer l'envoi et la visibilité d'un document au cas par cas :
- Ne pas envoyer un document : L'utilisateur a la possibilité de ne pas envoyer un document au DMP si le patient s'y oppose pour un motif légitime (motif légitime ne nécessitant pas de traçabilité et laissé à l’appréciation du professionnel)
- Modifier la visibilité : Le professionnel peut rendre un document invisible au patient (dans l'attente d'une consultation d'annonce pour un diagnostic grave) ou à ses représentants légaux (Le respect du secret médical pour un mineur ne souhaitant pas que ses parents soient informés de certains soins.)
- Cas particulier « Modèles de documents »
- Pour optimiser le processus de production documentaire, le professionnel pourrait pré-paramétrer des modèles de documents et leurs conditions de visibilité. Par exemple, un professionnel peut créer un modèle de « compte-rendu d'expertise judiciaire » et le configurer pour que son envoi au DMP soit désactivé par défaut.
Envoi de documents par MSS professionnelle
L'envoi des "documents Ségur" (cf onglet « Liste des documents Ségur » du REM vers la MSS professionnelle est également automatique par défaut. Ces documents sont systématiquement transmis, à minima, au Médecin Traitant (MT) et au professionnel adresseur.
Le professionnel de santé peut modifier ou amender la liste des destinataires ou les paramètres d'envoi si besoin.
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Le montant de la facture transmise au client et à l'ASP en fin de projet doit correspondre au montant total (100%) - la partie "Prestation Segur" doit être reportée dans le JSON et doit être inférieure ou égale au montant déclaré lors de l'avance (dépôt du dossier).
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À ce jour, le le dispositif "Dossier Usager Informatisé (DUI) - AHI (MS3)" du Ségur Vague 2 n'est pas encore ouvert : des travaux sont toujours en cours. Dès que les éléments nécessaires seront finalisés (cadre réglementaire, modalités de référencement, financements, ...), nous publierons les informations complètes sur le Portail Industriels. Nous vous informerons également via votre Espace Authentifié.
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