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Les principaux objectifs de la procédure de sauvegarde et de restauration sont de garantir la disponibilité des données essentielles en cas de défaillance du système, de perturbation ou de perte de données.
Cette procédure contribue à la sécurité des solutions en minimisant les risques de perte de données critiques. Elle permet de restaurer rapidement et efficacement les systèmes à un état de fonctionnement antérieur, réduisant ainsi les temps d'indisponibilité et les impacts potentiels sur la sécurité et la continuité des opérations.
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La procédure de sauvegarde et de restauration doit contenir des informations détaillées sur la manière de réaliser des sauvegardes efficaces, ainsi que sur la manière de restaurer les données en cas de besoin. Cela peut inclure :
- Les acteurs de la procédure de sauvegarde et de restauration et leur rôles (RACI) ;
- La fréquence de sauvegarde ;
- Le plan de sauvegarde mis en place par l'éditeur ;
- Le champ d'application (périmètre de la sauvegarde) ;
- Le lieu de stockage des sauvegardes ;
- Les méthodes de sauvegarde (ex: sauvegardes complètes, incrémentielles ou différentielles)
- Les règles de sécurité : les mesures de sécurité sont mises en place pour protéger les sauvegardes (ex: chiffrement des données, l'accès restreint aux sauvegardes,etc.) ;
- Les tests de récupération (champ des tests, fréquence, etc.)
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Les preuves demandées sont majoritairement de la documentation spécifique à chaque exigence, une attestation sur l'honneur, ainsi que le formulaire du test d'intrusion en particulier pour l'exigence SC.SSI/GEN.18. Elles permettent de vérifier que les processus en question sont bien mis en œuvre et conformes à une démarche SSI.
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Pour être évaluées, les preuves doivent être déposées sur Convergence dans un conteneur ZED garantissant l'intégrité et la confidentialité des documents. Ces preuves sont consultées par les vérificateurs uniquement.
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Cette exigence permet à la fois de s'assurer que le professionnel sera effectivement en mesure de s'authentifier (ou de récupérer son compte) le moment venu, et de renforcer la sécurité de l'authentification.
En effet :
- Si par exemple le professionnel commet une erreur à la saisie de son numéro de téléphone portable et que ce numéro est utilisé pour lui envoyer un code OTP par SMS comme second facteur d'authentification, alors le professionnel ne recevra pas cet OTP au moment de son authentification et ne pourra pas se connecter. Le professionnel va demander une modification de cette coordonnée, mais à ce moment-là il faudra s'assurer de son identité de manière fiable, avec deux facteurs d'authentification. Ceci peut devenir contraignant et constituer une très mauvaise expérience pour un nouvel utilisateur ;
- Si le professionnel commet une erreur à la saisie d'une adresse email utilisée comme second facteur d'authentification en cas d'oubli de son mot de passe par exemple, alors il découvrira ce problème le jour où il a besoin de récupérer son compte. Déjà en situation exceptionnelle et de perte de temps, le professionnel ne pourra pas récupérer son compte facilement et devra alors passer par une vérification fiable mais contraignante de son identité.
La vérification permet de s'assurer que la coordonnée est bien exacte et sous la maîtrise du professionnel. De plus, ceci évite la tentation de demander le contournement des mesures de sécurité pour répondre à des situations problématiques et urgentes, prétextes justement utilisés par des attaquants pour prendre possession illégalement d'un compte.
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Lorsque les coordonnées d'un professionnel sont récupérées dans un annuaire comme le RPPS ou le RPPS+ (considéré comme un "autre système en amont"), les coordonnées sont supposées fiables et leur vérification n'est pas demandée dans la gestion du compte.
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Afin de vérifier l'exactitude d'une adresse email, il y a deux grands types de méthode :
- envoyer un code numérique ou alphanumérique (lettres majuscules et chiffres) sur l'adresse email, et demander au professionnel de saisir cette valeur dans un formulaire ;
- envoyer un lien unique (URL générée spécifiquement pour ce cas d'usage) sur l'adresse email, et déclencher la validation de cette adresse email lorsqu'une connexion est ouverte sur l'URL transmise.
Afin de vérifier l'exactitude d'un numéro de téléphone, il est généralement envoyé un code numérique de 4 ou 6 chiffres par SMS sur ce numéro et le professionnel doit le ressaisir dans un formulaire.
Cette vérification doit avoir lieu au moment de la création du compte ou de la modiifcation de la coordonnée. En l'absence de vérification effective, la coordonnée ne pourra pas être utilisée car étant potentiellement invalide.
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Il peut sembler inutile d'envoyer une notification sur une coordonnée (adresse email, numéro de téléphone) que le professionnel veut justement abandonner. Ceci permet toutefois, en cas d'usurpation d'identité, de prévenir le professionnel légitime qu'une coordonnée a été modifiée à son insu (il pourra alors demander une fermeture des accès et une nouvelle modification).
De plus, dans tous les cas, le professionnel retrouvera de manière précise sur cette ancienne coordonnée, utilisée sur une période donnée, la date de bascule vers sa nouvelle coordonnée.
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Lorsqu'une nouvelle instance d'un logiciel ou d'un service est déployée, il faut que les mesures de restriction relatives à l'authentification par mot de passe seul soient en place sans nécessiter de configuration spécifique. Cela n'interdit pas de pouvoir modifier cette configuration, par exemple là où le référentiel d'identification électronique ne s'applique pas. Cependant, ceci évite les non-conformités lorsqu'aucune action de configuration n'est effectuée après installation / restauration d'une solution.
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La solution doit permettre de respecter les exigences en termes de robustesse des mots de passe attendues dans les exigences et cela doit être paramétré ainsi dans la configuration par défaut.
En revanche, il n’est pas interdit qu’un paramétrage plus permissif soit possible (par exemple le produit n’est pas nécessairement commercialisé qu’en France). C’est alors de la responsabilité de l’établissement de santé si celui-ci fait volontairement baisser la robustesse du mot de passe. L’éditeur ne saurait être tenu pour responsable dans ce cas.
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Lorsque le moyen d'authentification comprend deux facteurs, l'exigence ne s'applique pas mais ceci ne dispense pas pour autant de mettre en place des mesures contre les attaques par force brute. Par exemple, si le second facteur a été compromis (l'attaquant reçoit par exemple les OTP d'authentification), il ne faut pas permettre des tentatives répétées de soumission de mot de passe sans limite. Le responsable du moyen d'authentification doit alors mettre en œuvre des mesures identiques ou alternatives à celles prévues par l'exigence pour le cas de l'authentification par mot de passe seul.
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Le délai est à définir au cas par cas par le responsable du service numérique. Il doit être assez court pour limiter les possibilités d'accès au système par un tiers mais assez long pour ne pas forcer inutilement des authentifications intempestives.
Le compromis doit être établi en fonction des risques et des contraintes opérationnelles propres au service. La durée d'inactivité provoquant la déconnexion automatique ne devrait pas pouvoir dépasser quelques dizaines de minutes dans tous les cas.
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Les preuves requises consistent en des captures d'écran ou des séquences vidéo illustrant les mesures de gestion des comptes d'utilisateurs, la connexion et la déconnexion au système.
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Les exigences découlent du référentiel d’identification électronique qui a été rendu opposable par arrêté ministériel conformément au code de la santé publique, Art. L. 1470-1. à Art. L. 1470-6 (arrêté du 28 mars 2022). Il fait partie de la Politique Générale de Sécurité des Systèmes d’Information en Santé (PGSSI-S).
Le respect du référentiel d'identification électronique engage dès lors la responsabilité des responsables de traitement assujettis à ce référentiel. En particulier, la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) peut diligenter des audits et sanctionner les établissements pour un défaut d'application du référentiel d'identification électronique.
Les différents volets du référentiel d'identification électronique peuvent être récupérés sur le site de publication de la PGSSI-S par l'ANS.
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Le référentiel d'identification électronique annule et remplace au 1er juin 2022 trois référentiels de la PGSSI-S :
- Le référentiel d’identification des acteurs sanitaires et médico-sociaux v1.0 ;
- Le référentiel d’authentification des acteurs de santé v2.0;
- Le référentiel des autorités de certification éligibles pour l’authentification publique dans le secteur de la santé v2.0.
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La vague 2 du Ségur n'exige qu'une compatibilité générique avec le standard OIDC et le flux Authentication Code Flow. Les éditeurs sont libres de faire les choix de paramétrage qui leur conviennent du moment qu'ils s'inscrivent dans le cadre du standard. Le financement de connecteurs OIDC spécifiques à certains établissements n'est pas compris dans le Ségur. Il fera l'objet d'une contractualisation directement avec les établissements en ayant besoin.
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Tous les éléments externes s'interfaçant avec les services numériques et nécessaires aux scénarios de preuve seront fournis par l'ANS avec un guide de raccordement/configuration.
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Des machines virtuelles (VM) sont disponibles pour téléchargement sur le compte éditeur de la plateforme Convergence et s'accompagnent pour chaque exigence d'un guide d'utilisation présentant la VM et le mode opératoire du test.
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Non, chaque éditeur est libre d'utiliser le type de fichier de son choix tant que la fonctionnalité demandée par l'exigence est disponible.
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Pour assurer la complétude du formulaire, l’éditeur doit renseigner l’ensemble des informations propres à son application dans le formulaire du test d’intrusion (fichier Excel, onglet « 1 – Résultat Formulaire »). L’éditeur informera l’auditeur du type d’application correspondant à sa solution conformément au logigramme fourni dans le guide du test d'intrusion. L’auditeur vérifiera que l’éditeur a bien respecté les règles de ce logigramme.
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