92 résultats
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- Dans le cas d'un CDAR2N1, le PDF à mettre en pièce jointe doit être identique à celui encapsulé dans le CDA.
- Dans le cas d'un CDAR2N3, "Le document de santé au format PDF doit afficher tous les éléments de l’entête du document CDA ainsi que les zones textuelles des différentes sections du corps du document CDA."
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Pour un utilisateur, l'administration de l'envoi de documents vers le Dossier Médical Partagé (DMP) et la Messagerie Sécurisée de Santé (MSS) depuis un logiciel s'effectue par une interface conçue pour être à la fois automatisée et personnalisable. L'objectif est de simplifier au maximum le processus tout en respectant les obligations légales et les situations spécifiques des patients.
Envoi de documents au DMP
Par défaut, l'envoi d'un document au DMP est automatique et le document est visible par le patient.
Cette configuration par défaut est non modifiable de façon globale par l'utilisateur, ce qui garantit le respect de l'obligation légale d'alimentation du DMP (Article L. 1111-15 du Code de la santé publique précisé par l’arrêté du 23 mai 2024).
Toutefois, le professionnel de santé dispose de deux options pour gérer l'envoi et la visibilité d'un document au cas par cas :
- Ne pas envoyer un document : L'utilisateur a la possibilité de ne pas envoyer un document au DMP si le patient s'y oppose pour un motif légitime (motif légitime ne nécessitant pas de traçabilité et laissé à l’appréciation du professionnel)
- Modifier la visibilité : Le professionnel peut rendre un document invisible au patient (dans l'attente d'une consultation d'annonce pour un diagnostic grave) ou à ses représentants légaux (Le respect du secret médical pour un mineur ne souhaitant pas que ses parents soient informés de certains soins.)
- Cas particulier « Modèles de documents »
- Pour optimiser le processus de production documentaire, le professionnel pourrait pré-paramétrer des modèles de documents et leurs conditions de visibilité. Par exemple, un professionnel peut créer un modèle de « compte-rendu d'expertise judiciaire » et le configurer pour que son envoi au DMP soit désactivé par défaut.
Envoi de documents par MSS professionnelle
L'envoi des "documents Ségur" (cf onglet « Liste des documents Ségur » du REM vers la MSS professionnelle est également automatique par défaut. Ces documents sont systématiquement transmis, à minima, au Médecin Traitant (MT) et au professionnel adresseur.
Le professionnel de santé peut modifier ou amender la liste des destinataires ou les paramètres d'envoi si besoin.
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Non, cela n'est pas interdit. Toutefois dans le cadre des échanges automatisés décrits dans les exigences, seuls sont concernés les CDA.
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Le blocage de l’alimentation du DMP doit être unitaire et choisi par l’utilisateur.
L’utilisateur DOIT effectuer une action pour NE PAS ENVOYER dans le DMP (ex : case à cocher, bouton-radio…).
Cette action DOIT être effectuée pour CHAQUE document qu’il souhaite retenir.
Ce comportement DOIT être par défaut et DOIT être immuable : il NE DOIT PAS être configurable ou débrayable par l’utilisateur.
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En vertu du RGPD vous devez déjà tracer l’accès aux données de santé à caractère personnel. Le fait de rajouter l’INS à ces données de santé à caractère personnel ne change rien. Il sera simplement vérifié que cette traçabilité est faite. Cette exigence sera vérifiée en s'assurant que lorsqu'un acteur accède au dossier d'un usager - doté ou non d'une INS (ouvre le dossier de cet usager) - cet accès est tracé dans la solution.
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Non, l’ordre d’affichage des traits n’est pas une exigence. Néanmoins, il convient de respecter l’exigence SI 11 du RNIV : « Les traits d’identités affichés conformément à la réglementation doivent pouvoir être facilement distingués, sans risque d’équivoque, par les acteurs concernés ».
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La transmission de données patient à un autre professionnel via MSSanté n'implique pas de disposer d'une identité INS qualifié. Dans le cas où l'INS du patient n'est pas qualifiée, le document transmis ne doit pas contenir l'INS et l'OID.
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Un TSP est un fournisseur de services de confiance qui fournit des certificats numériques utilisés pour authentifier et sécuriser les signatures électroniques.
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La procédure de sauvegarde et de restauration doit contenir des informations détaillées sur la manière de réaliser des sauvegardes efficaces, ainsi que sur la manière de restaurer les données en cas de besoin. Cela peut inclure :
- Les acteurs de la procédure de sauvegarde et de restauration et leurs rôles (RACI) ;
- La fréquence de sauvegarde ;
- Le plan de sauvegarde mis en place par l'éditeur ;
- Le champ d'application (périmètre de la sauvegarde) ;
- Le lieu de stockage des sauvegardes ;
- Les méthodes de sauvegarde (ex: sauvegardes complètes, incrémentielles ou différentielles)
- Les règles de sécurité : les mesures de sécurité sont mises en place pour protéger les sauvegardes (ex: chiffrement des données, l'accès restreint aux sauvegardes,etc.) ;
- Les tests de récupération (champ des tests, fréquence, etc.)
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Cette exigence permet à la fois de s'assurer que le professionnel sera effectivement en mesure de s'authentifier (ou de récupérer son compte) le moment venu, et de renforcer la sécurité de l'authentification.
En effet :
- Si par exemple le professionnel commet une erreur à la saisie de son numéro de téléphone portable et que ce numéro est utilisé pour lui envoyer un code OTP par SMS comme second facteur d'authentification, alors le professionnel ne recevra pas cet OTP au moment de son authentification et ne pourra pas se connecter. Le professionnel va demander une modification de cette coordonnée, mais à ce moment-là, il faudra s'assurer de son identité de manière fiable, avec deux facteurs d'authentification. Ceci peut devenir contraignant et constituer une très mauvaise expérience pour un nouvel utilisateur ;
- Si le professionnel commet une erreur à la saisie d'une adresse email utilisée comme second facteur d'authentification en cas d'oubli de son mot de passe par exemple, alors il découvrira ce problème le jour où il a besoin de récupérer son compte. Déjà en situation exceptionnelle et de perte de temps, le professionnel ne pourra pas récupérer son compte facilement et devra alors passer par une vérification fiable mais contraignante de son identité.
La vérification permet de s'assurer que la coordonnée est bien exacte et sous la maîtrise du professionnel. De plus, ceci évite la tentation de demander le contournement des mesures de sécurité pour répondre à des situations problématiques et urgentes, prétextes justement utilisés par des attaquants pour prendre possession illégalement d'un compte.
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